Cestquicestquoi

C’est sûr, tu as déjà entendu parler de philosophie. Chez toi, sur les réseaux sociaux ou peut-être en cours. C’est même la première épreuve du BAC commune à toutes les filières générales et technologiques. Mais plus qu’un mot entouré de mystères, philosopher c’est tout simplement réfléchir, chercher la raison profonde des choses, développer des idées sur un sujet quel qu’il soit. On peut dire que philosopher c’est penser par soi-même en dehors des idées toutes faites et des invectives. Tout le contraire de l’époque en quelque sorte !

Tu as certainement entendu parler des élections présidentielles et législatives qui se sont tenues récemment. Des femmes et des hommes se sont engagés pour soutenir des candidats ou pour occuper des postes au service de la communauté. D’autres, à tous les âges, choisissent de s’engager pour la protection des espèces, contre le réchauffement climatique ou pour soutenir l’accueil des migrants. Autant de causes qui mobilisent l’énergie de ceux qui ont décidé d’en être des acteurs. En un mot, de s’engager.

Un héros c’est quelqu’un qui, face à une situation exceptionnelle, va avoir un comportement… exceptionnel, avec ou sans super-pouvoir. Harry Potter est un héros. Apparu il y a vingt ans – et avec lui un univers fantastique composé de magiciens, sorciers, dragons, balais volants… -, si Harry s’est imposé dans l’imaginaire de millions de gens à travers le monde, c’est parce que Joanne Rowling – plus connue sous son nom d’autrice J.K. Rowling – n’a pas oublié de le rendre humain, sensible, de lui faire traverser des situations que tous les moldus du monde connaissent ou ont connues, ces moments de doute, de manque de confiance en soi, mais aussi de joie, d’amitié, sans oublier les premières histoires d’amour. Bref, tout ce qui rend un héros attachant.

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est l’auteur le plus joué du répertoire français. Dans le monde, seul William Shakespeare est aussi célèbre. Ce qui fait la force de ses comédies qui puissent dans la farce et la commedia dell’arte, c’est sa portée universelle, au point qu’on appelle la langue française « la langue de Molière », comme on dit « la langue de Shakespeare ». Avec en moyenne 500 000 exemplaires de ses œuvres vendues chaque année, Molière est traduit dans plus de 100 langues, dont le persan, le malais et le wolof. Né le 15 janvier 1622, on célèbre cette année les 400 ans de sa naissance. Mais que diable allait-il faire à cette galère ?